C'est dans cette révision supérieure de la passion par la raison que réside ce que les moralistes ont improprement appelé « le libre arbitre ». }}
Débusquer les bases biologiques d'un comportement n'enlève rien à l'humanisme du geste ni au libre arbitre : nous demeurons toujours libres de choisir entre un geste altruiste ou égoïste.